1 PRELUDE
Les forces de désintégration
s’emparent de notre monde
Un mode en déliquescence,
surpeuplé, avili, abêti
Soumis à la domination d’une
véritable crapulocratie
Etre sain, préserve toi et
agis dans l’ombre.
2 BETAIL/ RECUL
J’ai l’impression
de vivre dans un véritable cauchemar
Sans fin, qui vient de pire
en pire, chaque jour qui passe
Tout autour de moi, se perd,
s’uniformise, se brasse
Face à la connerie humaine
sans limite, pas d’échappatoire
Les gens ont tous le même
mode de vie standardisé
Vautrés à ingurgiter ce que
leur dit leur télé
Refrain
Perroquets crachant des discours
types avec hystérie
Affirmant des faits que jamais
ils ne vérifient
Anes blasés, prétentieux
pensant faire preuve d’indépendance
Incapables de percevoir les
plus criantes évidences
Préférant commenter des heures
le match de football
Plutôt que de se soucier
de leur éthique de vie
Après des années de pollution
et de vache folle
Se feront crever par un cancer
et puis tant pis !
Refrain
Multitudes d’affaires,
où on nous prend pour des gros cons
Détournement, manipulations,
pas de réaction
Tant qu’il y a des OGM dans l’assiette et puis
Ils s’insurgent régulièrement
devant la barbarie nazie
Bêtes robots humains et fiers
esclaves du système
Consomme, travaille et réagis
comme on te l’enseigne
Nos maîtres doivent se frotter
les mains d’avoir à diriger
Du si bon bétail, non seulement
servile mais zélé.
Refrain :
Face à ce monde qui m’exaspère
Prendre du recul est nécessaire
Je vis ma vie pour les miens
En leur donnant ce que je
peux bien
Je ne veux plus perdre mon
temps
Avec des gens inintéressants
Mais consacrer mon énergie
A ma famille, à mes amis
Tous ensemble comme des frères
Dans les coups durs, dans
les galères
Unis pour tenter de construire
Un mieux pour notre avenir
Et pour léguer à nos enfants
Les éternelles valeurs d’antan
Mieux vaut allumer une chandelle
Que de se plaindre de la
pénombre
3 JEUNES ET EUROPEENS
« J’ai traversé
l’Europe entière. J’ai marché à travers Anvers aux dernières heurs de la journée (la splendide architecture de
la cité flamande faisait clairement ressortir le génie Européen), à travers Rotterdam dont les lumières brillaient de mille
feux, à travers Stockholm recouverte de givre, dont les beautés m’ont hypnotisés. J’ai pensé a l’Allemagne,
la France, l’Italie, toutes ces grandes nations européennes. L’homme blanc a bâti ces nations, s’il ne se
relève pas et ne combat pas ses ennemis, notre monde s’écroulera. Si cela arrive, alors les fantômes des guerriers qui
sont morts pour l’Europe se lèveront et accuseront les lâches qui n’ont rien fait. Je ne veut pas être de ceux
là. »
Ian stuart Donaldson, décembre
1988.
4 RIGIDITE
Regarde camarade, et vois
autour de toi
Tous ces gens qui t’entourent
et nuisent a tes idées
Regarde camarade, et pleure
sur ton combat
Car pour qui tu luttes, préfèrent
la volupté
Regarde camarade, et recense
les rangs
Des insurgés du petit écran
Esclaves du petit confort
pernicieux
Qui militent face au poste,
combien ils sont nombreux
Plus de cinquante mille ans
pour en arriver la
Encore quelques années de
télé, de tournées
Plus de cinquante mille ans
pour en arriver la
Grande gueule et vanité briseront
notre destinée,
Regarde camarade à travers
les vitrines
les comptoirs se remplir
de militants alcooliques
en vidant leurs poches dans
les caisses anonymes
ils croient surtout au vin,
païens et catholiques
regarde camarade, les tables
sous les lampions
de braces bedonnants te parleront
d’éthique
entre 3 plats graisseux,
au nom de la tradition
ils s’empiffrent en
pleurant sur un passé mythique
plus de cinquante mille ans
pour en arriver là
encore quelques années de
télé, de tournées
plus de cinquante mille ans
pour arriver là
la bouffe et les clopes briseront
notre destinée,
regarde camarade, a qui veux-tu
parler
de cohérence et d’intégrité
aux petits chefs attachés
au renom
pretss à se plier à toutes
les compromissions
regarde camarade, et pleure
sur ton combat
pour les ethnies d’Europe,
ce continent mortel
que Vinci et Poussin, Brecker
ou Evola
portent ailleurs leurs exemples,
vers des races plus belles
plus de cinquante mille ans
pour en arriver là
encore quelques années de
télé, de tournées
plus d cinquante mille ans
pour en arriver là
les compromissions briseront
notre destinée.
5 LA TERRE
Il était là devant le seuil
de sa chaumière
Contemplant les enfants jouant
près de la source
Son regard se portait, vers
les arbres, proches frères
Vers les bois amicaux recouverts
par la mousse
Refrain :
On construit une vie comme
on nourrit la terre
Les outils à la main et les
galoches aux pieds
On construit une vie par
le grain et le fer
Par le pain sur la table
quand on a récolté
Combien d’années à
défricher ces champs
Les heurs de semailles, la
femme à ses cotés
Une vie toute entière sous
la pluie et le vent
Mais le soir au crépuscule
une juste fierté
Refrain
Le labour, la charme laissent
aussi des sillons
Dans le creux des mains et
sur les joues rasées
Si la peine, la sueur garantissent
les moissons
La neige et le soleil marquent
au fer leurs cadets
Refrain
Et pourtant, malgré tout,
il ne regrettait rien
Que pèse une existence dans
le cycle du temps ?
Ses muscles et son regard
témoignaient du destin
Dont sont dotées les âmes
de l’ordre paysan.
7 VACCIN
Transgression de toutes les
frontières
Et totale soumission à l’expert
Efficacité plus qu’hasardeuse
Aucune étude réellement sérieuse
Forge toi ta propre gouverne
Face à cet autre mythe moderne
Les vaccins sont une vaste
tromperie !
Les dénoncer choque la masse
abrutie
Gavée de discours stéréotypés
Sur leurs soi-disant bienfaits
Refrain :
De vaccin en vaccin s’accélère
Ton affaiblissement immunitaire
Hémorragie de tes défenses
Abâtardissement de l’enfance
Toute petite injection
Contenant mille poisons
Manipulés génétiquement
Et déjà mêlés à ton sang.
Sache qu’au soi-disant
pays des droits
Pour ta propre santé tu n’as
pas le choix
Pas le moindre pouvoir de
décision
Doit tourner leur machine
à pognon (bis)
Pasteur imposteur !
cette histoire de fou
Est bien une histoire de
gros sous
Pub pour la république, créneau
marketing,
Nouveau marché
La santé des citoyens n’est
qu’une
Marchandise comme une autre
Et les grands groupes n’aiment
pas
Les bas prix et l’efficacité
Refrain
Pas d’étude sur l’impact
à long terme
D’où viennent Parkinson,
Alzheimer ?
Combien de bavures étouffées
De mutations dangereuses,
De populations décimées ?
(Bis)
Et bientôt ! Leur dictature
nous dégénérera
Sans autre prison que notre
ignorance
Mais dans un monde sans valeur,
Sans repère, sans combat
Ca n’aura vraiment
plus d’importance
Refrain
Ne deviens pas un Zombie
de cette société
Consommateur du marché immunologique
Il s’agit de notre
sang, du reflet des aînés
Ne laissons pas détruire
notre patrimoine génétique
Ne les laissons pas détruire !
10 MONTAGNE
Rompre avec la médiocrité
malsaine
Quitter la facilité régnant
dans la plaine
La difficulté lui forge l’âme
Il veut l’affronter
seul dans les Hautes montagnes
Marche péniblement des heures
durant
Assailli par le froid et
le vent
Rien ne saurait pourtant
l’arrêter
Car sa force c’est
sa volonté
La force est la volonté !
Dans ces immensités, l’ascension
lui paraît sans fin
Maître de son destin, il
fixe le plus haut point
Son âme, d’essence
supérieure
Le fait pourtant poursuivre
toujours et encore
Pas comme ses contemporains
bercés de leurs douces illusions
Il veut réaliser son aspiration
à l’élévation
Les efforts librement consentis
Sont la marque des Forts
et endurcissent l’esprit
Inflexible esprit !
Du haut de l’éminence
Tous tes efforts trouvent
récompense
Contemple ces monts qui scintillent,
invincibles,
Dans la tourmente des nuages
La vue de ce divin paysage
Emplit ton cœur d’une
joie intense
Joie de savoir que la nature
poursuivra sa marche en avant
Ferme les yeux, ton esprit
chavire dans le vent
Plonge dans les lacs aux
eaux claires et profondes
Etanche ta soif, là où si
pure est l’onde
Sous les cascades, dans les
vastes forêts
Cours, libre et joyeux, dans
ces sanctuaires sacrés
Pour toi, la nature se révèle
Maintient ta ferveur spirituelle
Comble ta quête d’authenticité
A toi détenteur d’une
indomptable volonté
Indomptable volonté !
11 HYMNE A LA LOI
Mon pays est béni des dieux
immortels
En lui d’innombrables
beautés m’appellent
Je contemple avec respect
la clarté du ciel
Les vastes prairies d’herbes
et de fleurs, les fleuves et le soleil.
Le grondement des mers et
des orages,
L’affrontement des
dunes contre les vagues,
Les forêts dans les tempêtes
et la nuit,
Le tambourinement de la pluie.
Je songe aux époques lointaines
où mes ancêtres se tenaient là
Ils admiraient comme moi
les moissons mûrissantes
Les légions des étoiles éternellement
scintillantes
Le déroulement de la vie,
de la mort au fond des bois
Le mouvement des astres et
des saisons
Tout est régi en cycles éternels
Et la divine force de création
Mêle beauté et combat perpétuel
Les anciens avaient bien
compris que le monde est le moulin de la grande chanson
Et non une vallée de larmes
sujette au péché originel ou autre malédiction
Et nos grands Ancêtres européens
cherchaient le divin dans
La loi inaltérable et inflexible
de la nature,
L’harmonie respectueuse
de l’âme s’y soumettant,
Ses innombrables créations
belles et pures
Pas dans l’asservissement
bi-millénaire
Des doctrines perfides venues
d’orient
De ces fardeaux étrangers
décadents
Je fais table rase de ces
chimères
Pour ne plus qu’elles
entravent ma spiritualité
Retrouver la vérité issue
de mon âme
Je me tiens debout dans la
réalité
Pas courbé devant un dieu
jaloux, infâme
Mes gènes ne sont pas chrétiens
Mais ceux d’un Européen
Affirmant sa foi en l’éternelle
tradition :
La Loi du monde est l’ordre
divin
Silence ! Je
revois l’innocence du monde
J’entends
chanter encore aux vents harmonieux
Les bois épanouis
sous les cieux
La force et la beauté
de la terre féconde
En rêve sublime
habitent dans mes yeux.